BASQUE-FRANÇAIS



             traduction

            







Les sorcières 5:

Catherine : Maman ! D’une autre façon, c’est le tour du Pape ! (toutes rient)

Marie : (toute fachée)Qu’avez-vous donc ce soir, pour rire ainsi de nous ?Personne ne dirait que les enfants de Saubadine peuvent être ainsi envers leurs meilleures voisines.

Catherine :Il y en a de meilleures! ( toutes rient)

Marie : Quel mal causent nos paroles à quiconque ?

Toutes : (sauf Saubadine) Pauvres agnelles !

Marie : Nous ne sommes pas j’espère des âmes damnées comme Elixa de Harripeña

Louise : Le tour d’Elixa, maintenant ! La première et pas la dernière !

Jeannette : Ne sommes nous pas entrées dans toutes les bonnes œuvres ?

Jeanne : Oui et bien entrées(à voix basse à ses compagnes) sans pouvoir les sortir malheureusement ! ( les compagnes rient)

Jeannette : Allons Marie levons nous et allons à la maison ! Nous n’avons plus rien à faire ici…

Catherine : Ce soir, vous pouvez être très fatiguées de faire ce que vous avez fait ! (toutes rient) une goutte de café, Marie, Jeannette ? Un bon café sans du tout de chicorée ?

Marie : Suffit comme cela Mesdames ! Vous pourriez avoir bientôt de nos nouvelles ..

Toutes :Nous le savons, nous le savons, bien sûr !

Marie : Pas assez et pas bien encore ! Bon soir Saubadine !Nous vous rendons aussi coupable que celles-là , puisque vous ne dirigez pas mieux votre maison désormais…On ne se moque nulle part ainsi des gens de bien jusqu’à maintenant..(elles s’en vont aussi raides que leurs bâtons.

Louise :Jusqu’à ne pas vous revoir !

                        IV : les mêmes qu’avant,Marie et Jeannette manquent seulement

Saubadine : Vous avez fait du beau travail les enfants !

Louise : Du beau travail ?Nous ne sommes pas sur le point de le regretter,

Catherine : Nous ne leur avons même pas assez dit, ni assez fait !

Saubadine : Mais les enfants ! Et la charité ? que faites-vous donc de la Loi du Seigneur ?

Jeanne : La Charité et la Loi Divine exigent d’arracher jusqu’à la racine les griffes du démon, tant qu’on peut.

Saubadine : Jeanne !

Jeanne : Oui, c’est ainsi, voilà, chère Saubadine : Aux méchants il faut couper les pieds et les ailes et profondément encore ! Voyons, voyons, pendant que nous travaillons,qu’allons nous imaginer entre toutes pour sortir leur dard à nos deux guêpes …