BASQUE-FRANÇAIS



             traduction

            







Deux makilas en chemin 4 :

Leurs coups à tous deux…cherchaient l’homme, mais…toujours ne trouvaient que le makila !… Gauche, droite, par le haut, par le bas, par le côté, de front, ou de biais, sans trouver nulle part de prise… !

Haaa ! leurs poitrines hurlant, en donnant le coup, comme celles des bûcherons dans la forêt ! Fiouou, fiouou ! sifflaient par contre leurs makilas. Et après, " kask " tout d’un coup, sans le plus petit regret dans le heurt du makila sur le makila

Pendant ce quart-d’heure, ils se battaient ainsi, sur le haut de l’endroit, parce qu’ ils ne s’étaient pas éloignés l’un de l’autre d’un pas, d’un pouce pendant tout ce long délai ! Tous les deux en sueur, mais toujours dans la même forme ; et la première déchirure ou petite égratignure entre eux encore à faire !..

- Léger avantage, cette fois cependant, vous avez failli m’attraper Piarre !

- Je ne sais pas Ñakero, si je ne me lèverai pas toujours trop tard pour cela.

- Cela se pourrait Pierre..Dites Piarre ? et, en disant cela, il porte à Piarre un coup qui aurait brisé un bœuf…..

- Qu’avez vous Ñakero ? et à la place où il avait son makila aussitôt Piarre l’avait mis en travers de celui de Ñakero, aussi dur qu’une barre à mine…

- Ce que nous n’avons pas fait pendant cette demi-heure, comment le ferons nous au bout d’une heure ? Alors également faibles, ou également forts, maintenant, est-ce que ça n’est pas toujours pareil ? Nous sommes tous les deux de même catégorie, ne l’avons nous pas montré Piarre ? Si nous allions les deux…chez Maider ?

- Allons chez Maider Ñakero…Je suis aussi assoiffé dans ce combat…

Et, Comme dans les histoires de sorcières le Makila Zafra-Maria-Zafra, alors seulement, et toutes ces paroles ayant été dites par les deux amis ensemble, alors les makilas de Piarre et Ñakero, s’abaissèrent et s’arrêtèrent.. !

Du revers de la main nos deux Garaztar s’étaient essuyé à peine le front, et,- la lune au dessus d’eux est radieuse – ils allèrent chez Maider, les makilas rangés à l’intérieur de leur fourreau, sous l’épaule. …. FIN de " Deux Makilas en Chemin ".

La tisane de feuilles de tabac :

Si le Seigneur n’avait pas créé le fumeur ! Léon avait sûrement trente cinq ans quand il fit la première cigarette. Jusqu’ alors à peine avait-il apporté le cigare bagué que pour le repas des noces, l’époux offrait, et,lui aussi aux amis.