Ah! grand Dieu qu'elle est belle La dacquoise a l'œil noir Dont la vive prunelle étincelle le soir J'aime son doux sourire Son front mystérieux Et sa lèvre respire L'amour tendre et joyeux (bis) Ondes fugitives de l'Adour Vous qui passez plaintives et sans retour Gardez sur vos rives mes amours Gardez mes amours toujours, toujours Son épaule est plus blanche Que la neige des cieux Son corsage qui penche Ses contours gracieux Ses longs cheveux en franges Qui tombent sur son corps On croirait voir un ange Qui va prendre son vol Il se peut que sa flamme Arrive jusqu'a' vous Mais je garde en mon âme Ce précieux nom si doux Quand on aime, on préfère Isoler son bonheur Il faut bien savoir taire Les secrets de son cœur.